Les agents du Service de Police de la Ville de Montréal (SPVM) ont tué plus de 40 personnes en 20 ans. Aucune de ces victimes ne méritait de mourir ainsi et en plus dans l’impunité la plus totale. Car non seulement les policiers abusent de leur pouvoir et causent la souffrance et la mort de ceux-là même qu’ils sont censés protéger, et chaque mort est un scandale en soi, mais en plus ils sont ensuite protégés par leurs collègues, par la Fraternité des Policiers et Policières de Montréal (FPPM), par la Direction du SPVM, les autorités politiques à tous les niveaux (élus municipaux, ministres provinciaux…) et par les autres personnes qui travaillent dans le système judiciaire : policiers, coroners, procureurs et juges.
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